Les sourcils ont une particularité qui peut parfois surprendre plus d’un. Leur absence du visage se remarque presque immédiatement. D’ailleurs, les expressions faciales changent beaucoup en fonction du positionnement des sourcils. Elles peuvent paraitre plus dures ou joviales selon le cas. La greffe de sourcils : techniques utilisées (FUE) est l’une des méthodes envisageables pour restaurer ces éléments du visage. Les autres sont la microgreffe, et le PRP. Voici leurs différentes spécifications.
La technique FUE : le fondement de la greffe de sourcils
La greffe de sourcils : techniques utilisées (FUE) implique un déracinement des diverses unités de follicules l’une après l’autre. Le lieu d’extraction est généralement situé derrière le cuir chevelu. La réimplantation s’effectue un poil après l’autre au niveau des sourcils. La popularité de la FUE s’est renforcée pendant cette dernière décennie pour plusieurs raisons. C’est une technique qui n’entraine aucune cicatrice remarquable. Elle offre d’ailleurs une grande précision au cours de l’intervention.
Le rendu n’a rien d’artificiel, puisque les poils employés proviennent du cuir chevelu. Cela permet d’avoir des sourcils définitifs avec une réduction du temps nécessaire à la récupération. L’avantage de la greffe de sourcils : techniques utilisées (FUE) est l’option du sur-mesure. L’implantation s’adapte à l’orientation naturelle du sourcil pour créer une harmonie perceptible sur le visage.
La microgreffe : l’alternative plus précise
On l’assimile le plus souvent à la FUE pour diverses raisons. La différence est relative à la nature des équipements utilisés. Ces derniers ont un diamètre infiniment petit. L’implantation des follicules concerne surtout ceux qui comportent un unique cheveu. Cette méthodologie est importante pour les sourcils qui doivent être fins. Le succès de la microgreffe s’explique par les multiples avantages liés :
- La discrétion et l’élégance du rendu ;
- La maitrise parfaite du tracé ;
- La densité graduelle et naturelle.
La microgreffe est fortement recommandée aux personnes désireuses de remodeler l’apparence de leurs sourcils. Elles ne souhaitent pas pour autant que cela entraine une surcharge esthétique.
Le mix de la microgreffe et du FUE : une réelle complémentarité
Dans les faits, la greffe de sourcils : techniques utilisées (FUE) et la microgreffe sont parfois associées. La FUE facilite l’extraction à un endroit précis sans fioritures. Avec la microgreffe, on procède à l’implantation des poils avec une exactitude remarquable. Cette association a permis d’avoir d’excellents résultats dans la restructuration des sourcils. Ils sont bien mieux que les prouesses autrefois effectuées avec les vieilles méthodes.
Le PRP : un accélérateur de la greffe de sourcils
Il ne faut pas considérer le PRP (Plasma Riche en Plaquettes) comme une méthode utilisée pour greffer les sourcils. C’est plutôt un traitement complémentaire. Le sang du patient est d’abord récupéré et placé dans une centrifugeuse. Le PRP en est obtenu dans l’optique de séparer les éléments de croissance. L’injection se fait ensuite dans la partie greffée pour optimiser la cicatrisation. Les greffons sont alors pourvus de meilleures chances de survie.
L’intérêt du PRP dans une greffe de sourcils
Le traitement facilite la repousse des sourcils greffés, et fait considérablement baisser les risques d’inflammation. La récupération est fortement amplifiée dans ces conditions. D’ailleurs, la qualité des poils est parfaitement optimisée. Le PRP fonctionne comme un stimulant biologique d’une grande efficacité dans ce contexte.
À quel moment utiliser le PRP ?
Au cours des protocoles avancés, il est possible de se servir du PRP à diverses étapes :
- À l’entame de la greffe, dans l’optique de baliser le terrain ;
- Au cours de l’intervention, pour fournir l’hydratation requise aux greffons ;
- Après la greffe, afin de faciliter la repousse des sourcils.
Le PRP se couple aisément à une greffe de sourcils : techniques utilisées (FUE) et une microgreffe. Cette combinaison permet de décupler les avantages de chaque technique pour en tirer le meilleur.
Les méthodes complémentaires exploitées
La greffe de sourcils : techniques utilisées (FUE), la microgreffe et le PRP sont les principales options employées pour restaurer les sourcils. Elles ne sont pas les seules, car d’autres approches permettent d’ajuster des éléments. C’est le cas lorsque des cicatrices sont présentes sur le visage. Il peut également être nécessaire de corriger les anciennes greffes effectuées. Après un traumatisme important, la greffe des sourcils s’impose quelques fois.
Le socle demeure alors la greffe de sourcils : techniques utilisées (FUE). L’usage des autres méthodes en complément s’envisagera en fonction du cas.
Les cibles de ces méthodes d’implantation
Comme vous l’avez compris, les situations dans lesquelles utiliser ces techniques varient énormément. Vous pourriez y penser en cas d’alopécie ciblée, brûlures et sourcils épars. Un abus de l’épilation entraine parfois la perte des sourcils, de même que les brûlures. Quoi qu’il en soit, combiner les différentes techniques présentées est le meilleur moyen d’avoir de bons résultats.
Les résultats et la progression de la greffe
Il convient aussi de s’intéresser à la situation après une greffe de sourcils : techniques utilisées (FUE). Cette méthode entraine souvent une chute des poils implantés au bout de quelques jours. Ne cédez pas à la panique, car c’est une phase normale. Il faut attendre entre 3 et 4 mois pour constater une repousse définitive. La microgreffe et le PRP contribuent à la stabilisation de la densité graduelle pour un effet durable.
Quel est l’intérêt d’une intervention professionnelle ?
En matière de greffe de sourcils, le succès ne repose pas seulement sur les technologies exploitées. Il est vrai que les outils se perfectionnent, de même que les protocoles. La qualité d’une greffe de sourcils : techniques utilisées (FUE) dépend surtout de l’expert qui la réalise. Elle n’est pas assimilable à d’autres interventions de chirurgie esthétique dotées de standards. Ici, le profil du praticien joue un rôle important sur le rendu qui sera obtenu.
Une posture inappropriée, une implantation faite selon le mauvais angle ou une densité mal calculée peut avoir de lourdes conséquences. L’effet n’aura rien de naturel comme espéré par le patient. C’est aussi pour cette raison que le spécialiste doit maitriser la microgreffe. L’implantation du follicule ne signifie pas qu’il faut le mettre n’importe où en dessous de l’épiderme. Les points suivants doivent absolument être pris en compte quant au poil :
- Son orientation naturelle ;
- Sa courbure ;
- L’angle.
Une greffe de sourcils : techniques utilisées (FUE) implique souvent des variations de ces aspects de quelques millimètres. Le recours à un professionnel sert à bénéficier de son expérience en la matière selon l’endroit à traiter. Ses connaissances lui permettent en plus de prendre en compte les particularités de chaque visage. Cette exactitude chirurgicale démarque un sourcil naturel d’un autre greffé.
Les aptitudes du praticien peuvent aussi être jugées au cours de l’usage raisonné du PRP. Un mauvais calibrage nuit énormément à son profit. C’est pour cela que son intégration doit être bien faite dans une greffe de sourcils : techniques utilisées (FUE). Il se transforme alors en soutien biologique pour la prise des greffons en provenance de la microgreffe. La qualité de la repousse bénéficie d’une parfaite amélioration. Dans ce cas, le protocole tient compte des particularités de l’expérience fournie en clinique pour chaque patient. Elle est relative à la nature de l’épiderme, sa sensibilité, etc.
Se faire greffer les sourcils est désormais un savant mix de science, d’esthétique et d’exactitude. La greffe de sourcils : techniques utilisées (FUE) est l’option privilégiée dans plusieurs parties du monde. Ses effets peuvent être accentués par le PRP et la microgreffe en fonction des divers besoins. Leur bonne combinaison permet d’avoir un rendu discret, permanent et en harmonie avec le visage. Ces sourcils greffés embellissent le faciès sans donner l’impression de ne pas être à leur place. Tout le luxe esthétique à base de PRP ou microgreffe s’apprécie à ce moment.



